Le divorce est indéniablement une épreuve, tant pour le couple qui divorce que pour ses enfants s’il en a. On trouve dans les statistiques relatives au divorce du site suisse pionnier en matière de divorce par Internet divorce.ch, quelques chiffres significatifs à cet égard. On y apprend par exemple que deux fois plus d’enfants de divorcés (65%) ont des difficultés avec leur père que les enfants, dont les parents, sont restés ensemble (29%), ou que parmi ceux dont les parents ont divorcé, 20 % en souffrent encore psychologiquement parlant, 6 ans après.
En Suisse, aujourd’hui, quasi tout le monde divorce à l’amiable
Éviter l’exacerbation des passions lors d’un divorce est l’une des raisons qui ont poussé la Suisse à revoir sa législation sur le divorce. Résultat, aujourd’hui en Suisse, quelle que soit la procédure que l’on choisisse -procédure classique ou du « consentement mutuel » -, on ne peut plus divorcer « pour faute du conjoint » et autres « tu m’as trompé(e) ». C’est d’ailleurs, sans aucun doute, ce qui fait qu’actuellement 90 % des divorcés suisses l’ont fait à l’amiable en remplissant ensemble leur convention de divorce suisse (voir ici).
Procédure sans avocat, et même par Internet via divorce.ch !
Cette procédure permet d’obtenir son divorce beaucoup plus rapidement et pour un coût vraiment plus avantageux que celle d’un divorce classique ! Mieux : bon nombre de « divorcés à l’amiable » ont pu le faire sans faire appel à un avocat, et en ligne (ou presque), en passant par https://divorce.ch/ ! Or 50 % d’entre eux avaient des enfants !